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Valais 2025 : La course au Conseil d’État, entre fromage, fendant et coups bas

Valais 2025 : La course au Conseil d’État, entre fromage, fendant et coups bas

Le Valais s’apprête à vivre un moment aussi solennel qu’un raclette-party familiale : les élections cantonales du 2 mars 2025.

Cette fois encore, les électeurs devront choisir cinq heureux élus pour siéger au Conseil d’État.

Et comme toujours en politique valaisanne, on peut s’attendre à un savant mélange.

Un mélange de tradition, de joutes verbales bien senties et de négociations plus serrées qu’un vieux ceinturon après un banquet du gala du FC Sion.

Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas moi qui ai rédigé cet article.

Ainsi, j’ai voulu faire un test et ai donc demandé à ChatGPT de faire le taf à ma place.

Voici ce qu’il m’a pondu….

Valais 2025

Les prétendants au trône (ou du moins au fauteuil en cuir du Conseil d’État) sont au nombre de 6.

Six candidats ont décidé de se lancer dans l’arène politique pour décrocher l’un des cinq sièges tant convoités.

Ainsi donc, faisons un petit tour d’horizon des gladiateurs du moment.

 

Christophe Darbellay (Le Centre) : L’increvable
On ne le présente plus, et pourtant il adore ça.

Christophe Darbellay, conseiller sortant et grand maître de la politique valaisanne, est de retour.

À croire que son agenda n’a pas de place pour la retraite.

Habile orateur et fin stratège, il est capable de convaincre un Valaisan de troquer son verre de fendant…

…contre un Perrier (mais uniquement en cas de force majeure).

Il mise sur son expérience pour remporter la mise, et soyons honnêtes : dans une partie de jass, il est plutôt du genre à avoir tous les atouts en main.

 

Franziska Biner (Le Centre) : L’audacieuse
Nouvelle venue dans l’arène gouvernementale de ce Valais 2025, Franziska Biner entend bien prouver que le Conseil d’État ne doit pas être réservé aux figures historiques.

Mais c’est une femme qui en impose et qui a autant d’énergie qu’un troupeau de vaches d’Hérens avant la montée à l’alpage.

Sa candidature apporte une touche de fraîcheur à la campagne.

Et elle espère bien casser l’image du Valais où la politique se transmet encore comme une vieille vigne en héritage.

 

Stéphane Ganzer (PLR) : Le stratège du bleu de travail
Ganzer, c’est l’homme du pragmatisme.

Il est aussi précis qu’un horloger jurassien et n’hésite pas à rappeler que la politique, c’est avant tout du concret.

Son crédo ? Moins de blabla, plus d’actions.

Et son problème ? En Valais, on aime bien le blabla, surtout autour d’un verre.

Et reste à voir s’il réussira à séduire les électeurs avec son discours centré sur l’efficacité… ou s’il devra, lui aussi, se convertir à la poésie du vin blanc pour séduire les foules.

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Emmanuel Revaz (Les Verts) : L’écolo en mission
Revaz veut du changement.

Pas juste un petit verdissement de façade, non, une vraie révolution verte dans ce Valais 2025.

On murmure qu’il rêve d’un Valais où les remontées mécaniques fonctionneraient à l’énergie solaire.

Et où le cornet de frites serait remplacé par des graines germées.

Mais dans ce Valais 2025, ses détracteurs le voient déjà en train d’interdire la chasse aux champignons,

Tandis que ses soutiens espèrent un Valais plus respectueux de l’environnement.

Quoi qu’il en soit, il devra convaincre que sauver la planète peut aussi rimer avec sauver les emplois.

 

Mathias Reynard (PS) : Le socialiste rockstar
Reynard, c’est un peu le Georges Clooney du PS valaisan : toujours bien mis, toujours souriant, et toujours prêt à défendre la veuve et l’orphelin.

Conseiller sortant, il a su naviguer entre réformes sociales et selfies bien cadrés.

Et son défi ? Faire comprendre aux Valaisans que la solidarité, ce n’est pas uniquement payer la tournée au bistrot.

Aussi, il devra aussi prouver qu’il a toujours sa place à l’exécutif face aux poids lourds de la droite et du centre.

 

Franz Ruppen (UDC) : L’irréductible Valaisan
Ruppen, c’est l’homme qui veut un Valais qui reste fidèle à lui-même : authentique, conservateur et pas trop perturbé par ces histoires de quotas et de neutralité carbone.

Et il parle aux vrais Valaisans, ceux qui savent encore fabriquer un raccard et qui considèrent qu’un repas sans viande séchée est une hérésie.

Déjà conseiller d’État, il joue la carte du localisme et du « bon sens paysan ».

Toutefois, il devra montrer qu’il peut parler à tout le monde et pas seulement à ceux qui connaissent la différence entre un hérisson et un bouquetin.

Valais 2025: une campagne entre tradition et modernité

On l’a compris, cette campagne électorale ne sera pas de tout repos dans ce Valais 2025.

Entre débats télévisés et rencontres avec les électeurs au marché de Sion (où le plus grand risque est de repartir avec une tomme et un saucisson sans avoir posé de question), les candidats devront se démarquer.

Certains joueront la carte du sérieux.

Tandis que d’autres celle de la proximité, et il y aura forcément quelques petites phrases bien senties qui feront le tour des réseaux sociaux.

Et donc ainsi, entre accusations de copinage, promesses électorales qui tiendront aussi bien que du pain de seigle rassis, et rebondissements inattendus, on peut s’attendre à une course haletante.

Et si jamais les électeurs hésitent encore le 2 mars, il leur suffira de se poser la question ultime : « Avec qui j’aimerais bien partager une bonne bouteille de fendant ? »

Vive le Valais 2025 !!!

Que le meilleur gagne !

(Article rédigé par ChatGPT, quand même moins drôle que le Bacouni, hein dis ?)

8 réflexions sur “Valais 2025 : La course au Conseil d’État, entre fromage, fendant et coups bas”

    1. Salut Sandra,
      Ouais, ChatGPT a un sens de ‘humour pas trop mauvais pour une machine.
      Bon, faut dire qu’il me côtoie depuis plusieurs mois, alors à force il sait d mieux en mieux ce que j’attends de lui.
      Mais c’est vrai que pour le coup, il ne s’est pas trop mal débrouillé.
      Je préfère quand même écrire mes articles moi-même mais cet assistant a des qualités indiscutables.
      A bientôt.

  1. C’est étonnant !
    Tu as dû bien peaufiner ton prompt, pour arriver à ce résultat. Franchement, ça fait le job. Mais pour moi, il manque  » ce tout petit supplément d’âme, cet indéfinissable charme, cette petite flamme »…

    1. Salut Céline,
      Même pas.
      Je me suis contenté de lui demander de rédiger un article sur un ton humoristique en s’inspirant du parcours de chacun des candidats.
      Comme ChatGPT a accès à tout Internet, il a trouvé toutes les infos dont il avait besoin.
      Mais je dois avouer que le résultat est assez bluffant.
      Mais tu as raison: il manque ce petit supplément d’âme….cette couenne transpirante qi donne du goût au texte.
      Je reprendrai moi-même les commandes dès le prochain article.
      Salut à la Vaudoisie 🙂

    1. Salut Pascal,
      Même pas.
      Je me suis contenté de lui demander de rédiger un article sur un ton humoristique en s’inspirant du parcours de chacun des candidats.
      Comme ChatGPT a accès à tout Internet, il a trouvé toutes les infos dont il avait besoin.
      Mais je dois avouer que le résultat est assez bluffant.
      A+

      1. Oui, un résultat très bluffant et à l’avenir tu devras me préciser chaque fois si c’est de toi ou de ChatGPT 😄et d’un autre côté cela me fait peur car nous arrivons à un stade ou le doute pourra être de mise sur tout 😒

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