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La fameuse histoire pas banale du Bacouni

La fameuse histoire pas banale du Bacouni.

Depuis le temps que je t’en parle….

Bon, alors, je vais pas vous faire languir encore deux semaines de plus, hein ?

Voilà maintenant près de deux mois que je vous parle d’une histoire pas banale qui m’est arrivée, vous devez commencer à vous lasser d’attendre, non ?

Alors, je vais tout vous dire sur cette histoire pas banale.

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Petite pause dans ta lecture !

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L’histoire pas banale est effectivement assez inhabituelle.

Celles et ceux qui me connaissent savent certainement que j’ai exercé la fonction de Conseiller Municipal dans la belle commune des mangeurs de lard de 2016 à 2020.

Je serais volontiers reparti pour 4 ans, mais les électrices et électeurs bacounis en ont décidé autrement.

J’ai fini sur le podium de la liste du Parti Libre et Reconnaissant, mais seuls les 2 premiers ont eu droit à siéger.

Jusque là, rien d’anormal (ou presque, lol). C’est la politique.

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Du coup, j’ai tourné la page et trouvé plein d’autres trucs à faire pour remplir mon agenda.

Et croyez-moi, ça n’a pas été compliqué.

Y a par exemple ça qui m’occupe pas mal: marketing de réseau

Oui, mais voilà, mon colistier a démissionné en novembre dernier et du coup c’est Le Bacouni qui aurait dû le remplacer.

Le système proportionnel me donnait accès à la salle du Conseil sans aucune autre forme de procès.

Normal, le procès, on me l’avait déjà fait au moment des élections…

Sauf qu’entre temps, le célèbre chroniqueur que je suis devenu (2ème degré) a changé de boulot.

Et c’est là que débute l’histoire pas banale…

Fini la banque, bonjour l’industrie, avec un poste à responsabilités devenu totalement incompatible avec une fonction politique.

Du coup, et c’est là que ça devient ubuesque, j’ai été nommé officiellement par le Conseil Municipal mi-décembre, mais j’ai dû démissionner…sans jamais siéger.

Ouais, vous avez bien lu : démissionner d’une fonction pour laquelle je n’ai pas assuré la moindre petite minute de mon temps.

Mais bon, c’est la loi, et j’ai donc dû envoyer un courrier à Frédo.

Oui, le Frédo à nous, celui des Panini que tu dois coller sur ta carte d’électeur à chaque votation ou élection.

Je lui ai expliqué que je ne pouvais pas siéger pour raisons professionnelles, son chef de service a donné un préavis et Frédo a décidé d’accepter ma démission.

Alors, si t’as lu Le Nouvelliste du 10 février dernier, tu as vu passer l’histoire du changement de conseiller à Vex, mais tu n’as pas eu droit à toute l’histoire.

Voilà les choses à présent proprement rétablies et expliquées avec une totale transparence.

Et là, vous vous dites : « Purée, on a attendu 2 mois pour ça ? »

Si vous pensez cela, vous avez bien raison.

Un suspense quasi insoutenable pour une histoire dite pas banale au final pas plus extraordinaire que d’autres.

Le but pour moi était de vous garder en haleine et de vous inciter à ne rater aucune de mes chroniques.

Le rédacteur en chef du Confédéré, son président et toute son équipe sont d’ailleurs ravis d’avoir quadruplé leurs tirages durant les 4 dernières éditions.

Va falloir que je pense à renégocier mon cachet de pigiste d’ailleurs.

Evidemment, je blague. Les tirages de votre journal préféré sont stables et la rédaction de ces couennes reste dans la sphère du bénévolat.

Mais quand même, la petite tactique m’a quand même permis d’attirer plus de trafic sur mon blog depuis mi-décembre.

D’ailleurs, si vous voulez le visiter, vous pouvez le faire en suivant ce lien : blog du bacouni

Vous y trouverez non seulement mes chroniques du Confédéré, mais aussi d’autres contenus divers et variés.

L’idée étant toujours de laisser le sérieux et les soucis au vestiaire.

Pour en finir avec cette histoire pas banale de politique, j’ai encore une dernière étape à franchir mi-mars.

Mais, je vous en parlerai une autre fois (ça y est, ça recommence…).

Pour le moment, je vais terminer ces lignes avec 2 nouvelles venues de mes récentes lectures de la presse quotidienne.

La première concerne les prix de l’électricité.

Dans certains pays, la hausse des prix du courant est vraiment problématique, et ça c’est pas des inventions.

Il paraitrait même que dans certaines contrées, des mesures d’économies drastiques ont été prises.

En France par exemple, la police a décidé d’économiser sur le courant en remplaçant les tasers par des bouquets d’orties.

Bon, évidemment, ceci n’est que pure invention de ma part, mais essayez d’imaginer ce que cela pourrait donner.

A Vex, on a pas ce souci parce que les prix du courant vont pas changer avant 2031 (et ouais).

En plus, chez nous, y a pas besoin de police parce que notre bourgade n’est peuplée que de gens honnêtes, droits dans leurs bottes et respectueux de leurs semblables et des lois.

D’ailleurs, l’économiste que je suis trouve l’idée des orties débile parce que les représentants de l’ordre devraient acheter des gants pour pas se piquer eux-mêmes.

Du coup, la hausse des coûts liée aux gants viendrait détruire les économies réalisées sur l’alimentation électrique es tasers.

CQFD.

 

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Et pour finir, des nouvelles du front russe : Poutine a encore perdu un cheveu (blague à deux balles).

Plus sérieusement, selon Le Matin, les troupes russes avancent plutôt lentement en Ukraine.

La progression des escouades poutiniennes serait environ équivalente à 500 mètres par semaine.

J’ai fait le calcul : ça correspond à une progression de 0.08 centimètres à la seconde.

La petite pilule bleue losange de Pfizer a de bien meilleurs résultats.

Enfin, du moins, c’est ce que promet la grande pharma.

Sur ces belles paroles, je vous retrouve le 3 mars pour mes prochaines considérations décalées. D’ici là, prenez soin de vous.

Samuel Sierro, celui qui a donc failli remettre le couvert au sein de la confrérie des druides de la commune des lécheurs de couennes mais qui n’a pas pu à cause qu’il a changé de boulot et qui a donc dû dire à Frédo des Panini que c’était pas possible et Frédo a accepté et Le Bacouni en a donc presque fini avec la politique, Vex

(Edition du Confédéré du 17 février 2023)

2 réflexions sur “La fameuse histoire pas banale du Bacouni”

    1. Salut Pascal,
      Travaillant moi-même dans le marketing relationnel, je confirme qu’il est préférable d’utiliser soi-même un produit pour se permettre d’en vanter les mérites et les vertus.
      Mais dans le cas présent, tu remarqueras que je n’affirme pas que le losange bleu est efficace; je ne fais que répéter ce que prétendent ses fabricants.
      Quoi qu’il en soit, le Bacouni n’a encore pas besoin de ce genre de subterfuges pour progresser plus vite que les troupes de Vladimir.
      Une belle journée à toi.

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